Celui de droite, le transept Sud, est dédié à saint Joseph. Sur le devant, c'est la mort du saint qui est représentée. C'est à cet autel qu'est conservée la réserve eucharistique. Les deux vitraux du mur Sud ont pour sujet la Sainte Famille et, à nouveau, la Mort de Joseph. Le premier a été offert par la famille Rouiller - Laurendeau, comme le vitrail de l'Assomption, au nord. Le second est daté de 1939. Egalement, une porte donne accès à la sacristie, autre vestige de l’église féodale détruite par l'incendie du 19e siècle. Le vitrail axial est consacré à saint Pierre orne le Chœur de l’église, ce qui peut surprendre dans la mesure où celle-ci est sous le vocable de Saint Martin. Il s'agirait probablement d'une référence à l'abbaye Saint-Pierre d'Airvault dont dépendait le prieuré-cure de Louin. Ce vitrail est encadré par deux statuettes de Saint Bernard et de Sainte Marie-Madeleine. Du côté du mur Nord un dernier vitrail représente l'Apparition de la Vierge à sainte Bernadette, à Lourdes. Sur le côté Sud du chœur, trône un beau crucifix en bois du 17e siècle. Le Christ, sans couronne d'épines, à la tête inclinée et les yeux clos, mobilier classé depuis 1980. Porte de l'ancienne église, Crucifix en bois du XVIIe siècle ( mobilier classé), entrée du presbytère du XVe siècle. Déclaration de mobilier classé du crucifix Cinq toiles anciennes y sont conservées, une est consacrée au titulaire de l'église, Saint Martin, une seconde est le portrait de l’Abbé Cornuault, un diptyque représentant l'annonce de l'ange Gabriel à Marie et pour finir un diptyque représentant l'annonce de l'ange Gabriel à Marie.
Pour finir, N’oublions pas ces statues du 19e et 20e siècles non encore citées dans cet état des lieux : Sacré Cœur et Thérèse de l'Enfant Jésus et au revers de la façade, le Saint curé d'Ars, Théophane Vénard, natif de Saint-Loup sur Thouet.
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